Affective, agence conseil basée entre Paris et Lille, annonce la reprise de Primatis, acteur reconnu de l’objet promotionnel et de la prime personnalisée. Cette nouvelle étape marque la suite d’une stratégie de transformation continue et ambitieuse, plaçant la créativité, l’innovation et la responsabilité au cœur de la proposition de valeur de l’agence.
« La reprise de Primatis et l’intégration des compétences de leurs équipes au sein des effectifs de l’agence s’est imposée naturellement à nous. Cette reprise répond à nos enjeux actuels et à notre ambition de faire d’Affective un acteur de référence du ‘brand merchandising’ nouvelle génération, en alliant créativité, pertinence stratégique et engagement éthique. Nous partageons une vision commune de notre marché avec Primatis : nous croyons que l’objet physique reste un levier puissant de communication, à condition qu’il soit pensé avec intelligence, sens et valeur ajoutée », déclarent d’une seule voix les associés et co-fondateurs d’Affective, Aurélien Chiquet Benjamin Stetten-Pigasse et Charles-Henri Carton.
Cette reprise constitue une étape clé dans le déploiement de la stratégie d’Affective qui propose un accompagnement global à ses clients : idéation, conseil sur des filières de fabrication traçables, suivi de production, solutions de distribution digitales et physiques. En intégrant le savoir-faire des équipes de Primatis et notamment celle de ses stylistes, Affective renforce non seulement son expertise globale, mais ouvre la voie à un développement de nouveaux pôles, notamment dans les secteurs porteurs de la mode, de la beauté et du luxe.
« À travers cette reprise, Primatis bénéficiera de la notoriété et du positionnement fort d’Affective, d’un renforcement de ses pôles design et conseil, ainsi que d’une gamme enrichie d’objets responsables, traçables et personnalisables. La volonté commune est claire: accompagner les marques dans la création d’objets qui racontent une histoire, reflètent leurs valeurs et marquent durablement les esprits. Notre objectif est de rendre l’industrie plus créative, plus transparente et plus vertueuse, le tout en témoignant que le beau peut être synonyme de durable », conclut Charles-Henri Carton.