Comment l’EAC œuvre pour une coopération internationale

Du 19 au 21 mai, l’EAC, association européenne de l’objet média fondée en 2024, s’est réunie pour la deuxième fois de son histoire, à Bruxelles. Une nouvelle rencontre riche en échanges, ouvrant de belles perspectives pour la suite. Le directeur du board de l’EAC, Steven Baumgaertner, a répondu à nos questions à la sortie de l’évènement.

Quels étaient les objectifs de la réunion et les avez-vous atteints ?
Notre principal objectif lors de cette réunion – le premier International Leadership Summit à La Hulpe – était de réunir des personnes au-delà des frontières, d’avoir des discussions honnêtes et de définir des priorités claires pour l’avenir de l’industrie. Nous y sommes parvenus : l’atmosphère était incroyablement ouverte, nous avons abordé des sujets difficiles tels que la durabilité et la transparence, et nous sommes repartis avec un sentiment de connexion beaucoup plus fort entre l’Europe et les États-Unis.

Comment les États-Unis et l’Europe peuvent-ils collaborer plus efficacement ?
Je pense qu’il s’agit avant tout de reconnaître les points forts des deux parties : L’Europe a une grande expérience en matière de réglementation et de durabilité, tandis que les États-Unis apportent une innovation audacieuse et de la rapidité. Si nous combinons ces atouts – par le biais de projets, d’événements conjoints comme le sommet, et d’échanges réguliers – nous pouvons créer quelque chose de beaucoup plus fort ensemble. Il s’agit vraiment d’instaurer la confiance et de poursuivre la conversation.

Quelles sont les prochaines étapes pour l’EAC ?
Il est maintenant temps de passer des bonnes conversations à l’action. Nous voulons développer le réseau EAC, lancer des projets communs avec nos partenaires internationaux et faire en sorte que les idées discutées lors du sommet se transforment en initiatives concrètes. C’est un moment passionnant, car nous sommes en train de façonner quelque chose de nouveau et de créer une voix plus forte pour l’industrie européenne sur la scène mondiale.

Article écrit par :
Bertrand CLERMONT-GENEVI

Rédacteur en chef C!mag